Courd'assises. Aix-en-Provence, Bouches-du-RhĂŽne. Cette page dans le site classique | L'atelier de propose un espace expĂ©rimental, pour dĂ©couvrir ses donnĂ©es. Frises chronologiques, cartes, galeries d'images vous conduisent vers les ressources de la BnF. Les donnĂ©es de data.bnf.fr sont disponibles et rĂ©utilisables librement (licence ouverte) en format Courd'assises des Bouches-du-RhĂŽne : le procĂšs de l'homme "Ă  la gĂąchette facile" reportĂ©. Le procĂšs de Julien Gleise a Ă©tĂ© renvoyĂ© Ă  une date qui Jurydes cours d' Assises (gard) Nous crĂ©ons le site internet de votre association. Cliquez pour en savoir plus. Affiner par gĂ©ographie Jury Aisne Aube Bouches-du-RhĂŽne Calvados CorrĂšze CĂŽte-dÂŽOr CĂŽtes dÂŽarmor Doubs DrĂŽme Gironde Haut-Rhin Haute-Garonne HĂ©rault Jura Loire-Atlantique Maine-et-Loire Manche Marne Mayenne Meurthe-et-Moselle Meuse Oise Pas-de-Calais Ilsdevraient ĂȘtre jugĂ©s devant la cour d’assises des Bouches-du-RhĂŽne Ă  Aix-en-Provence, dans le courant de l’annĂ©e 2022. Ils risquent 30 ans de rĂ©clusion criminelle pour actes de SignĂ©J. BaĂŻssas. et des millions de livres en stock sur Amazon.fr. Achetez neuf ou d'occasion Cour d'assises des Bouches-du-RhĂŽne. 4e trimestre 1867. PrĂ©sidence de M. le conseiller Mahyet. LeprocĂšs des deux pilotes de l’affaire Air CocaĂŻne dĂ©bute lundi 18 fĂ©vrier Ă  la cour d’assises d’Aix-en-Provence (Bouches-du-RhĂŽne). Retour sur une suite d'Ă©vĂ©nements rocambolesques. Bouchesdu-RhĂŽne Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur Pendant prĂšs de 12 ans, il a prĂ©sidĂ© l'une des sections de la cour d'Assises des Bouches Courd'assises des Bouches-du-RhĂŽne. Affaire des diligences Condamnations Ă  mort, Marseille, impr. nouvelle Arnaud, 1867, 2 p. Auteur(s) X AnnĂ©e de publication 1867 Personne(s) Coda-Zabetta (Joseph) Lieu(x) Bouches-du-RhĂŽne ThĂšme 5-8-3 — Affaires particuliĂšres (classĂ©es par noms de personnes) A propos. Criminocorpus propose le premier musĂ©e nativement Coupedu Monde de Football; Equipe de France; Europa League ConfĂ©rence; Euro 2021; Euro Espoir 2021; Copa America; UEFA Champions League; Ligue des Nations; Ligue Europa; Coupe de France; Coupe du Monde fĂ©minine; CAN; Liga 2; Ligue 1; Ligue 2; National; Foot FĂ©minin Leverdict, rendu ce mercredi 18 dĂ©cembre par la cour d'assises des Bouches-du-RhĂŽne d'Aix et rapportĂ© par le quotidien La Provence a créé la surprise dans la salle d'audience. JkUOi. SociĂ©tĂ© Une mĂšre de famille de 38 ans a Ă©tĂ© condamnĂ©e jeudi par la cour d'assises des Bouches-du-RhĂŽne Ă  deux ans de prison pour avoir tuĂ© en octobre 2008 le bĂ©bĂ© qu'elle venait de mettre au monde dans un bois. Une mĂšre de famille de 38 ans a Ă©tĂ© condamnĂ©e jeudi par la cour d'assises des Bouches-du-RhĂŽne Ă  deux ans de prison pour avoir tuĂ© en octobre 2008 le bĂ©bĂ© qu'elle venait de mettre au monde dans un bois. Les jurĂ©s n'ont pas suivi les rĂ©quisitions de l'avocate gĂ©nĂ©rale, Martine Assonion, qui avait rĂ©clamĂ© au terme de quatre jours d'audience cinq ans d'emprisonnement, dont deux avec sursis. Ils ont en revanche assorti la condamnation de 10 ans de suivi socio-judiciaire et d'une obligation de soins. Sophie Villaron, qui s'est fait stĂ©riliser Ă  sa demande pendant sa dĂ©tention prĂ©ventive, "a besoin d'un suivi socio-judiciaire suffisamment long pour se soigner mĂȘme si le risque de rĂ©itĂ©ration est Ă  exclure", a affirmĂ© dans son rĂ©quisitoire Mme Assonion. En octobre 2008, cette mĂšre de famille de trois enfants avait Ă©tĂ© mise en examen pour meurtre sur mineur de quinze ans aprĂšs la dĂ©couverte par deux promeneurs Ă  Orgon Bouches-du-RhĂŽne du cadavre d'un nouveau-nĂ© dans un sous-bois distant d'Ă  peine 200 mĂštres de son domicile. Aux enquĂȘteurs, elle avait racontĂ© que, se sachant enceinte, elle avait, par peur de la rĂ©action de son compagnon, prĂ©fĂ©rĂ© cacher cette grossesse. Sentant des contractions, elle Ă©tait partie accoucher dans les bois oĂč elle avait, pour "l'empĂȘcher de crier", mis sa main sur la bouche du bĂ©bĂ© jusqu'Ă  ce qu'il s'arrĂȘte de respirer. Pour les experts psychiatres et psychologues qui se sont succĂ©dĂ© Ă  la barre, Sophie Villaron fait preuve d'"immaturitĂ© affective" et sa personnalitĂ© est caractĂ©risĂ©e par un "complexe d'infĂ©rioritĂ© et un malaise relationnel". L'avocat de la dĂ©fense, Me Christophe Bass, a expliquĂ© jeudi que sa cliente a Ă©tĂ© "dans un enfermement psychologique pendant 35 ans", demandant des "soins efficaces" Ă  la place d'un "retour en prison". La jeune femme de 38 ans, sans profession, a connu au total six grossesses, dont trois seulement sont arrivĂ©es Ă  terme, et une seule a Ă©tĂ© dĂ©sirĂ©e, pour son deuxiĂšme fils, nĂ© en 2001. Son compagnon, pĂšre de deux de ses trois enfants, s'est portĂ© partie civile dans ce procĂšs. Sophie Villaron a dĂ©ja effectuĂ© 13 mois de dĂ©tention provisoire. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement Assises des Bouches-du-RhĂŽne une mĂšre infanticide condamnĂ©e Ă  deux ans de prison 1 Commentaire Une jeune femme comparaĂźt Ă  partir de mercredi devant la cour d'assises des Bouches-du-RhĂŽne pour le viol de sa fillette de 3 ans, des faits commis selon elle pour satisfaire son amant, lui aussi accusĂ© d'avoir violĂ© l' avril 2012, le pĂšre de la fillette avait alertĂ© la police, accusant sa compagne, la mĂšre de l'enfant, de maltraitances sexuelles. Constatant depuis environ trois semaines que sa fille, alors ĂągĂ©e de 3 ans, manifestait de la crainte vis-Ă -vis de sa mĂšre, il avait effectuĂ© des enregistrements dans son appartement lorsqu'il Ă©tait absent, Ă  l'insu de sa l'accusation, l'un de ces enregistrements permettait d'entendre, pendant une vingtaine de minutes, l'enfant pleurer et supplier sa mĂšre d'arrĂȘter ce qu'elle faisait, et des conversations suggĂ©rant une relation sexuelle, notamment avec un sex-toy, entre la fillette et sa mĂšre. En garde Ă  vue, la mĂšre a reconnu les faitsLors d'une audition, l'enfant accusait sa mĂšre de lui faire mal avec ce qu'elle dĂ©crivait comme ses jouets», en rĂ©alitĂ© des sex-toys, et dĂ©crivait des scĂšnes de sexe oral qui lui Ă©taient imposĂ©es. La mĂšre, aujourd'hui ĂągĂ©e de 31 ans, reconnaissait les faits pendant sa garde Ă  l'analyse de son ordinateur a menĂ© les enquĂȘteurs sur une autre piste, avec la trace d'une conversation Ă©lectronique entre la jeune femme et un collĂšgue de son mari, durant laquelle ils Ă©voquaient directement, toujours selon l'accusation, des actes sexuels commis sur la nouveau auditionnĂ©e, la mĂšre avait reconnu que le jeune homme, aujourd'hui ĂągĂ© de 32 ans, Ă©tait son amant. Assurant vouloir tout faire pour le satisfaire, elle avait alors expliquĂ© avoir Ă  plusieurs reprises eu des relations sexuelles avec sa fille et lui, et avoir Ă©galement fait des photographies pornographiques de sa fille pour les lui envoyer. La jeune femme accusait Ă©galement son amant de lui avoir fourni un anxiolytique pour empĂȘcher la fillette de se dĂ©battre ou de crier, selon l' son cĂŽtĂ©, l'homme, condamnĂ© Ă  de multiples reprises, notamment pour corruption de mineur, vol aggravĂ© ou sĂ©questration, a niĂ© les faits qui lui Ă©taient reprochĂ©s, assurant notamment que la conversation Ă©lectronique retrouvĂ©e sur l'ordinateur de sa maĂźtresse ne relevait que de fantasmes qu'il n'avait jamais encourent tous les deux 20 ans de rĂ©clusion criminelle. Cour de cassation - Chambre criminelleN° de pourvoi au bulletinSolution CassationAudience publique du mercredi 21 avril 1982DĂ©cision attaquĂ©e Cour d'Assises Bouches-du-RhĂŽne 1981-05-21, du 21 mai 1981PrĂ©sidentPdt M. Ledoux CDFFRapporteurRpr M. AngevinAvocat M. MĂ©fortAvocatsAv. Demandeur SCP Philippe et Claire WaquetTexte intĂ©gralRÉPUBLIQUE FRANCAISEAU NOM DU PEUPLE FRANCAISSTATUANT SUR LE POURVOI DE - X... ANDRE,CONTRE UN ARRET DE LA COUR D'ASSISES DES BOUCHES-DU-RHONE DU 21 MAI 1981 QUI L'A CONDAMNE A LA PEINE DE MORT POUR HOMICIDE VOLONTAIRE ET VIOLS AINSI QUE CONTRE L'ARRET DU MEME JOUR PAR LEQUEL LA COUR A STATUE SUR LES INTERETS CIVILS ;VU LE MEMOIRE PRODUIT ;SUR LE QUATRIEME MOYEN DE CASSATION, PRIS DE LA VIOLATION DE L'ARTICLE 304 DU CODE PENAL, DES ARTICLES 331, 332 ET 333 DU CODE PENAL ANCIENNE REDACTION, DE L'ARTICLE 1ER DE LA LOI DU 23 DECEMBRE 1980, DES ARTICLES 231, 348, 350, 351 DU CODE DE PROCEDURE PENALE, DE LA REGLE DE LA NON-RETROACTIVITE DES LOIS ;EN CE QUE LES QUESTIONS SUIVANTES ONT ETE POSEES 4 - L'ACCUSE X... ANDRE EST IL COUPABLE D'AVOIR, A MARSEILLE, DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE, LE 20 OCTOBRE 1977, COMMIS UN ACTE DE PENETRATION SEXUELLE ANALE SUR LA PERSONNE DE X... YVONNE, PAR VIOLENCE, CONTRAINTE OU SURPRISE ? 5 - LA VICTIME YVONNE X... ETAIT-ELLE UN ENFANT MINEUR DE QUINZE ANS, COMME NE LE 7 FEVRIER 1967 ? 6 - L'ACCUSE X... ANDRE ETAIT-IL LE PERE LEGITIME DE YVONNE X... ? 13 - L'HOMICIDE VOLONTAIRE SPECIFIE A LA QUESTION N° 9 A-T-IL PRECEDE, ACCOMPAGNE OU SUIVI L'ACTE DE PENETRATION SEXUELLE ANALE SPECIFIE A LA QUESTION N° 4 ? ;ALORS, D'UNE PART, QU'A LA DATE DES FAITS - 20 OCTOBRE 1977 - ILS NE POUVAIENT RECEVOIR QUE LA QUALIFICATION D'ATTENTAT A LA PUDEUR ;QUE LE PRESIDENT A DONC VIOLE LA REGLE DE LA NON-RETROACTIVITE DES LOIS EN REQUALIFIANT CES FAITS DE VIOL EN APPLICATION DE LA LOI DU 23 DECEMBRE 1980 ;ALORS, D'AUTRE PART, QUE L'ATTENTAT A LA PUDEUR NE CONSTITUE PLUS QU'UN DELIT, DEPUIS LA LOI DU 23 DECEMBRE 1980, DONT LES DISPOSITIONS PLUS DOUCES ETAIENT D'APPLICATION IMMEDIATE, LA QUESTION N° 13 RELATIVE A LA CONCOMITANCE NE POUVAIT PLUS ETRE POSEE ;VU LESDITS ARTICLES, ENSEMBLE L'ARTICLE 4 DU CODE PENAL ;ATTENDU QU'AUX TERMES DE L'ARTICLE 4 DU CODE PENAL, NULLE CONTRAVENTION, NUL DELIT, NUL CRIME NE PEUVENT ETRE PUNIS DE PEINES QUI N'ETAIENT PAS PRONONCEES PAR LA LOI AVANT QU'ILS FUSSENT COMMIS ;QUE, PAR SUITE, UNE LOI INSTITUANT UNE NOUVELLE INCRIMINATION OU ETENDANT LE CHAMP D'APPLICATION D'UNE INCRIMINATION PREEXISTANTE NE PEUT S'APPLIQUER A DES FAITS ANTERIEURS A SON ENTREE EN VIGUEUR ;ATTENDU QUE LA COUR ET LE JURY ONT, NOTAMMENT, RESOLU AFFIRMATIVEMENT LA QUESTION N° 4 PAR LAQUELLE IL LEUR ETAIT DEMANDE SI L'ACCUSE ETAIT COUPABLE D'AVOIR, LE 20 OCTOBRE 1977, COMMIS UN ACTE DE PENETRATION SEXUELLE ANALE SUR LA PERSONNE DE X... YVONNE, PAR VIOLENCE, CONTRAINTE OU SURPRISE ;MAIS ATTENDU QU'IL A ETE FAIT APPLICATION, EN L'ESPECE, DE LA DEFINITION DONNEE DU CRIME DE VIOL PAR LA LOI DU 23 DECEMBRE 1980 EN CE QU'ELLE A MODIFIE L'ARTICLE 332 DU CODE PENAL, ALORS QU'A LA DATE A LAQUELLE ILS ONT ETE COMMIS, LES FAITS DONT L'ACCUSE A ETE AINSI DECLARE COUPABLE N'ETAIENT SUSCEPTIBLES QUE DE LA QUALIFICATION D'ATTENTAT A LA PUDEUR ;ATTENDU EN OUTRE QUE L'ATTENTAT A LA PUDEUR, S'IL N'A ETE PRECEDE OU ACCOMPAGNE D'ACTES DE TORTURE OU DE BARBARIE, NE CONSTITUANT PLUS, EN VERTU DES DISPOSITIONS DE L'ARTICLE 331 NOUVEAU DU CODE PENAL, APPLICABLE EN LA CAUSE COMME INSTITUANT DES PENALITES MOINS SEVERES, QU'UN DELIT CORRECTIONNEL, LA CIRCONSTANCE AGGRAVANTE DE CONCOMITANCE DE L'HOMICIDE VOLONTAIRE, DONT L'ACCUSE A ETE PAR AILLEURS DECLARE COUPABLE, AVEC UN AUTRE CRIME, PREVUE PAR L'ARTICLE 304-1 DU MEME CODE ET QUI A FAIT L'OBJET DE LA QUESTION N° 13, EGALEMENT RESOLUE PAR L'AFFIRMATIVE, N'EST PAS LEGALEMENT CARACTERISEE ;D'OU IL SUIT QUE LE PRINCIPE CI-DESSUS RAPPELE A ETE MECONNU ET QUE LA CASSATION EST ENCOURUE DE CE CHEF ;PAR CES MOTIFS, ET SANS QU'IL SOIT BESOIN DE STATUER SUR LES AUTRES MOYENS ;CASSE ET ANNULE L'ARRET SUSVISE DE LA COUR D'ASSISES DES BOUCHES-DU-RHONE DU 21 MAI 1981, ENSEMBLE LA DECLARATION DE LA COUR ET DU JURY ET LES DEBATS QUI L'ONT PRECEDEE ;PAR VOIE DE CONSEQUENCE, CASSE ET ANNULE L'ARRET DU MEME JOUR PAR LEQUEL LA COUR D'ASSISES A STATUE SUR LES INTERETS CIVILS ;ET POUR ETRE STATUE A NOUVEAU CONFORMEMENT A LA LOI, RENVOIE LA CAUSE ET LES PARTIES DEVANT LA COUR D'ASSISES DU GARD, A CE DESIGNEE PAR DELIBERATION SPECIALE PRISE EN CHAMBRE DU Publication Bulletin Criminel Cour de Cassation Chambre criminelle N. 99 1 LOIS ET REGLEMENTS - Application dans le temps - Loi plus sĂ©vĂšre - RĂ©troactivitĂ© - Loi Ă©tendant le champ d'application d'une incrimination non. Les dispositions de l'article 332 alinĂ©a 1 du Code pĂ©nal en sa rĂ©daction issue de la loi du 23 dĂ©cembre 1980, ne sauraient, en ce qu'elles instituent une incrimination plus large que celle qui rĂ©sultait de la loi ancienne, s'appliquer Ă  des faits commis antĂ©rieurement Ă  l'entrĂ©e en vigueur de la loi nouvelle prĂ©citĂ©e 1. 2 LOIS ET REGLEMENTS - Application dans le temps - Loi plus douce - RĂ©troactivitĂ© - Loi du 23 dĂ©cembre 1980 - Attentats Ă  la pudeur - Faits antĂ©rieurs Ă  la loi. Voir le sommaire suivant. 3 COUR D'ASSISES - Questions - Viol - Loi du 23 dĂ©cembre 1980 - Faits antĂ©rieurs Ă  la loi - Faits constituant Ă  l'Ă©poque un attentat Ă  la pudeur - Question sur le viol non. Est notamment illĂ©galement posĂ©e la question par laquelle le cour et le jury ont Ă©tĂ© interrogĂ©s sur le point de savoir si l'accusĂ© s'Ă©tait rendu coupable d'un viol, alors qu'Ă  la date Ă  laquelle ils ont Ă©tĂ© commis les faits n'Ă©taient susceptibles que de la qualification d'attentat Ă  la pudeur. 4 COUR D'ASSISES - Questions - Circonstances aggravantes - Concomitance - Crime devenu dĂ©lit - Circonstance non caractĂ©risĂ©e. L'attentat Ă  la pudeur Ă©tant, aux termes de l'article 331 nouveau du Code pĂ©nal applicable immĂ©diatement comme instituant des pĂ©nalitĂ©s moins sĂ©vĂšres, devenu un dĂ©lit puni de peines correctionnelles, n'est plus lĂ©galement caractĂ©risĂ©e la question relative Ă  la circonstance aggravante, prĂ©vue par l'article 304 alinĂ©a 1 du mĂȘme code, de concomitance de cette infraction, dĂ©pouillĂ©e de son caractĂšre criminel, et d'un meurtre dont l'accusĂ© a Ă©tĂ© par ailleurs dĂ©clarĂ© coupable. 1 CF. Cour de Cassation Chambre criminelle 1981-08-22 Bulletin Criminel 1981 N. 246 p. 648 CASSATION. 1 2 CF. Cour de Cassation Chambre criminelle 1982-01-20 Bulletin Criminel 1982 N. 23 p. 53 CASSATION. 1 1 2 3 4 Code pĂ©nal 304 AL. 1 Code pĂ©nal 331 NOUVEAU Code pĂ©nal 332 AL. 1 LOI 80-1041 1980-12-23 Retourner en haut de la page