VladimirPoutine a accusé jeudi les Occidentaux de tout faire pour freiner la « montée en puissance » de la Russie, dénonçant au cours de son face-à -face annuel avec la presse les sanctions
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0000/01:39. l'essentiel La moutarde se fait de plus en plus rare dans les rayons des supermarchés français, la guerre en Ukraine et la sécheresse au Canada rendant l'approvisionnement
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21mars (Reuters) - Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé lundi avoir convoqué l'ambassadeur des Etats-Unis à Moscou pour lui
Cependant la Russie dispose d'un stock plus important de ce type d'équipement que l'Ukraine, et l'AFU a donc besoin de tous les véhicules blindés de transport de troupes et de BMP.
DariaDouguina a été tuée samedi soir dans l'explosion du véhicule qu'elle conduisait sur une route près de Moscou. Elle avait 29 ans. Journaliste et politologue, elle était la fille d'Alexandre Douguine, un idéologue et écrivain
Eneffet, nous avons préparé les solutions de CodyCross 77% de la surface de la Russie. Ce jeu est développé par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisés, les mots sont à trouver à partir de leurs définitions.
Plongéeau cœur de la Russie presque éternelle. Voici la liste des dix plus grandes villes de Russie, un classement en fonction de leur nombre d’habitants. 1. Moscou la capitale russe. La gare de Kazan à Moscou. 12 655 050 habitants (estimation 2021), soit une densité d’environ 5000 habitants au kilomètre carré.
39pM8F. La Sibérie deviendra un territoire plus facilement habitable d’ici les années 2080. Le climat de la zone va devenir plus clément avant la fin du siècle, entraînant probablement des migrations humaines. La Sibérie deviendra plus facilement habitable avant la fin du siècle. Des scientifiques de l’institut des forêts Soukatchev Russie et du centre de recherche Langley États-Unis ont prédit que le climat de la zone serait bien plus chaud et doux dès les années 2080, favorisant ainsi les migrations humaines. Le 7 juin 2019, les chercheuses ont résumé leurs travaux dans la revue Environmental Research Letters. En étudiant plusieurs conditions climatiques, dont la répartition du permafrost les zones du sol gelées en permanence, elles arrivent à la conclusion que la zone sera bien plus aisément habitable. Actuellement, le territoire représente 77 % de la superficie de la Russie et 27 % de sa population. Jusqu’à 9°C supplémentaires en hiver D’ici les années 2080, les températures pourraient augmenter de 3,4 à 9,1°C en plein hiver et de 1,9 à 5,7°C en plein été. Cela n’a pas l’air d’un grand changement pour une journée, mais sur le plan climatique, cela pourrait faire la différence entre la vie et la mort », note Amber Soja, chercheuse en sciences environnementales et co-autrice de l’étude, dans un communiqué. Dans ces conditions, le permafrost qui occupe actuellement 65 % des sols pourrait ne couvrir que 40 % de la région en 2080. Les chercheuses utilisent le potentiel écologique du paysage » Ecological Landscape Potential » ou ELP, un indicateur qui permet d’estimer dans quelle mesure des zones peuvent être habitables par des humains. Il intègre des mesures de chaleur et d’eau favorables au développement de la végétation. Cet ELP pourrait augmenter dans plus de la moitié du territoire de la Sibérie d’ici 2080, d’après le scénario le plus chaud prévu par les scientifiques. Le scénario le moins chaud estime ce changement touchera 15 % de la superficie de la Sibérie. Des migrations humaines à anticiper La capacité actuelle de ce territoire à accueillir des populations humaines pourrait être multipliée par 5 ou 7 avant la fin du siècle. Les chercheuses anticipent que la situation pourrait provoquer des migrations humaines » en Sibérie. Selon les autrices, il serait opportun de réfléchir dès à présent aux infrastructures et à l’agriculture qu’il faudrait développer dans la région pour s’adapter à cette évolution future. Les scientifiques ont utilisé le projet d’Intercomparaison des modèles couplés CMIP, qui fait partie du Programme mondial de recherches sur le climat PMRC des Nations Unies. Il permet de coordonner les simulations climatiques de plusieurs centres de recherche. L’étude explore deux scénarios de changement climatique un avec une hausse modeste des températures, l’autre avec une hausse plus importante. Dans chacune des hypothèses, les autrices ont étudié la répartition du permafrost et l’ELP. Comprendre le potentiel des paysages écologiques est crucial pour élaborer des stratégies viables de développement économique à long terme », concluent les chercheuses. Elles invitent les décideurs politiques à ne pas ignorer ces prédictions et à prendre des décisions dès à présent. Comme en matière de préservation de la biodiversité, il est encore temps d’agir.
Recensé I. Levada, L. Goudkov, B. Doubin, Problema elity v segodniavchei Rossii, Problème de l’élite dans la Russie contemporaine, Fond liberalnaia missia, Moscou, 2007, p. 203. En dépit de tous les discours sur la modernisation, la Russie s’apparente à une société sans avenir, une société dans un état de décomposition et de pourrissement, prise en otage par un groupe de pouvoir clanique. Aucun pétrodollar ne pourra la sortir de cet état un pays n’est pas une station de service ». C’est à cette conclusion pessimiste qu’arrivent les sociologues russes Iouri Levada, Lev Goudkov et Boris Doubin au terme d’une enquête sur l’état des nouvelles élites russes, menée dans les années 2005-2006 à Moscou et dans 55 régions de la Fédération de Russie. L’étude s’attache surtout à examiner le rôle des élites dans la transformation économique et sociale du pays peuvent-elles être le levier de la modernisation ? Ou bien ont-elles été trop façonnées par les années Poutine et la mise au pas » de la société nouvelles lois limitant les libertés civiques, pressions sur les médias, affaire Ioukos … qui a si profondément marqué la période récente ? Le rapport entre les élites et la société a-t-il évolué depuis l’époque soviétique ? Pour répondre à ces questions, les chercheurs du Centre Levada ont réalisé près de 600 interviews auprès des représentants des élites politiques membres de l’exécutif et élus au niveau fédéral, régional et municipal, économiques dirigeants d’entreprises, médiatiques, militaires et judiciaires du pays. Avant d’en venir aux résultats de l’enquête, rappelons que la conception en vigueur en Russie de ce qu’est une élite » est profondément marquée par le double héritage impérial et soviétique, héritage qui continue d’influencer les façons de penser et d’agir. Pendant quelques brèves années après la chute de l’URSS, ce terme a pu désigner les groupes d’intérêt formés autour des hommes politiques comme Igor Gaïdar, pour qui la modernisation du pays devait résulter de l’instauration d’une économie de marché. Or cette époque est aujourd’hui révolue et ses idées discréditées comme le souligne I. Levada dans de nombreux ouvrages [1], la décomposition du système totalitaire n’a touché que la surface des structures étatiques et a laissé pratiquement intacts les représentations, les concepts et les mentalités, de sorte qu’on assiste, depuis la fin des années 1990, à la résurgence de la tradition impériale. A l’intérieur de celle-ci, point de place pour le pluralisme le terme élite » désigne des cercles concentriques de personnes proches d’un pouvoir politique immuable, inaccessibles à la concurrence politique et à la délibération citoyenne. Au cœur de ce système concentrique, les hauts fonctionnaires de l’Etat central, issus pour un tiers d’entre eux 35% des forces de l’ordre armée, milice, services secrets, ce pourcentage s’élevant jusqu’à 70% dans les échelons intermédiaires du pouvoir politique. Centre Levada Le Centre Levada, du nom de son directeur, le sociologue Jurii Levada, a été fondé en 1987 pour analyser les transformations économiques initiées par la perestroïka. Il portait alors le nom de Centre national de l’opinion publique. Presque aussitôt après sa création, le Centre a élargi son champ d’étude aux questions sociales, nationales, culturelles, religieuses, etc. Il produit régulièrement des rapports sur l’état de la société et de l’économie russes. Pour préserver son indépendance vis-à -vis de l’Etat, le Centre est devenu une institution privée en 2003 et ne bénéficie plus de financement public. Dans cette tradition, l’appartenance à l’ élite » est définie par la loyauté au pouvoir et non par la compétence ou les responsabilités. Iouri Levada souligne à juste titre la médiocrité de l’élite russe actuelle, qu’il s’agisse de son niveau de formation, de ses compétences techniques ou de son dévouement au service du pays. Ses représentants ne sont que des intérimaires » du pouvoir central en place. Il n’est ainsi pas étonnant de constater que les élites semblent discréditées aux yeux de la société seulement 25% des Russes pensent qu’elles se préoccupent du développement du pays et non seulement de leur propre carrière. Comment les élites russes perçoivent-elles l’avenir de leur pays ? Elles reconnaissent certes un besoin de modernisation mais seulement une minorité 35% des personnes interrogées dans l’enquête définit celle-ci par la consolidation de la démocratie et de l’Etat de droit, 31% optant pour une modernisation lente, étroitement dirigée par un Etat fort et protecteur des valeurs et des priorités nationales, 18% préférant une voie spécifiquement russe » qui fait référence à l’idée nationale » [2], donc à un mélange d’idées du grand empire russe », de l’orthodoxie et des traditions administratives spécifiques » telles que sobornost[Une idée » activement recherchée par le pouvoir politique dès les années 1990.] ou zemstvo. Si l’idée de copier le modèle occidental » ne fait donc pas l’unanimité parmi les élites, c’est encore moins le cas des courants idéologiques ouvertement anti-occidentaux. L’économie est en réalité la principale, sinon l’unique dimension de modernisation dont les élites semblent se préoccuper – ce qui correspond à l’objectif annoncé par Poutine en 2004, et réitéré régulièrement depuis, de doubler le PIB en 2008. L’enrichissement actuel du pays, dû essentiellement à la hausse des prix des matières premières, sert toujours à renforcer l’Etat bien plus qu’à dynamiser la société. 77% des personnes interrogés dans l’enquête affirment d’ailleurs que le rôle politique du président Poutine est essentiel » dans le développement du pays. A la différence de l’époque soviétique, les élites actuelles ne sont fédérées par aucune idéologie précise, si ce n’est par l’idée d’un Etat fort et une vision très pragmatique » de leur propre place dans la hiérarchie sociale. Leur compréhension de ce qu’est une société pluraliste est extrêmement limitée. La société n’apparaît ni dans leurs discours, ni dans leurs projets, ni dans leurs actions. Leurs prospective ne vont pas au-delà des élections législatives de décembre 2007 et présidentielles de mars 2008. L’objectif qu’elles poursuivent est le maintien du statu quo. Vu de plus près, le groupe étudié par les sociologues se divise en un centre » le personnel du pouvoir exécutif et une périphérie » composée notamment des hommes d’affaires et des responsables locaux qui, bien qu’éloignés du centre, peuvent exercer une certaine influence sur celui-ci. L’enquête montre que les deux groupes suivent dans leurs propos et leurs actions la ligne indiquée par le pouvoir central, même lorsqu’ils affichent une attitude critique à son égard. C’est le cas de l’élite économique, la plus intéressée par le développement du pays et les réformes qu’il nécessite comme la protection des libertés individuelles cette fraction des élites ne demande rien de plus que de pouvoir respirer », c’est-à -dire s’occuper de ses propres affaires sans subir constamment les interventions de l’Etat. En échange, elle est prête à fermer les yeux sur le contexte social et politique, et n’exigera pas de réformes qui menaceraient l’ objectif suprême » d’un Etat fort et d’une Russie unie. Plus de 61% de l’élite économique affiche ainsi son soutien à Poutine, à quoi il faut ajouter 19% pour qui ce soutien est motivé par l’absence d’autres candidats crédibles. 9% seulement des hommes d’affaires interrogés se montrent en désaccord avec sa politique [3]. Et pourtant, de paire avec les intellectuels moscovites et les médias, c’est précisément cette catégorie sociale-là qui se sent la plus marginalisée dans la Russie actuelle, et qui craint le plus la marginalisation du pays si la ligne politique actuelle devait se poursuivre presque la moitié des dirigeants d’entreprises, 41% des employés des médias et 72% des intellectuels expriment cette inquiétude [4]. Ce sentiment de marginalisation paraît parfaitement fondé dans la mesure où le pouvoir central juge les élites privées et les intellectuels comme peu fiables et ne leur laisse aucune autonomie pour expérimenter des idées nouvelles pour développer le pays. Les principales caractéristiques de l’élite russe actuelle, telles qu’elles se dégagent de cette enquête et des études antérieures, sont celles du cynisme et de l’apathie. A cet égard, l’élite ne se distingue pas du reste de la population de nombreuses enquêtes ont montré que la majorité des citoyens partage une vision paternaliste des relations entre l’Etat et la société. Phénomène sensible jusque dans la vision du passé les courts épisodes d’absence de régime autoritaire – les huit mois qui séparent les deux révolutions de 1917 et la décennie 1989-1999 – sont régulièrement interprétés comme des périodes de chaos, nuisibles pour l’ homme russe ». Nous sommes plus près d’un lien direct » entre le tsar » et la nation, au sens de la formule russe du XIXe siècle autorité, orthodoxie, nationalité » [5], que d’une société démocratique où les élites et la société civile gardent leur autonomie à l’égard du pouvoir. Pour aller plus loin Le site ressource Johnson’s Russia list du Center for Defense Information. Les pages anglophones du Centre Levada Pour citer cet article Agnieszka Moniak-Azzopardi, Les élites de la Russie postsoviétique. Le cynisme et l’apathie », La Vie des idées , 25 octobre 2007. ISSN 2105-3030. URL Nota bene Si vous souhaitez critiquer ou développer cet article, vous êtes invité à proposer un texte au comité de rédaction redaction chez Nous vous répondrons dans les meilleurs délais.
Ce sera le nouveau poids-lourd du projet Leader, initié par le Kremlin pour assurer sa domination sur la route maritime du Nord, ouverte en partie grâce au réchauffement climatique. Commandé officiellement le 23 avril dernier, ce nouveau géant des mers doit assurer un acheminement permanent en gaz naturel liquéfié GNL de la Russie Arctique vers l'Asie du Sud-est. 209 mètres de long pour une largeur de 47,7 mètres et un tirant d'eau de 69 700 tonnes… Ce sont les caractéristiques hors-normes du nouveau brise-glace russe qui doit permettre au Kremlin d'assoir ses ambitions commerciales en Arctique. Capable de briser des "murs" de glace de 4 mètres grâce à ses deux puissants réacteurs nucléaires RITM-400 développés par une filiale de l'agence nucléaire russe Rosatom, OKBM Afrikantov, il pourra atteindre une vitesse de 22 nœuds en eaux libres à l'aide de ses quatre moteurs à hélice délivrant quelques 30 megawatt de puissance chacun. La signature du contrat entérinant la construction de ce navire a eu lieu le 23 avril dernier, entre l'armateur Atomflot filiale de Rosatomflot appartenant à Rosatom et le constructeur Zvezda, basé dans la ville de Bolchoï Kamen dans l'Extrême-Orient russe, qui doit auparavant repenser son chantier naval pour l'adapter aux mensurations de ce géant des mers. Selon les termes du contrat, le mastodonte devrait voir le jour en 2027. VOS INDICES source Crédit Rosatomflot Le plus gros navire de sa catégorie jamais conçu Le nouveau bâtiment russe devrait surpasser de loin tout ce qui a été construit en la matière. Son prédécesseur, "l'Arktika", ne mesure "que" 173 mètres de long pour 34 mètres de largeur et peut s'affranchir d'une glace de 2,8 mètres d'épaisseur. Mis à l'eau en 2016, l'Arktika a débuté ses essais en décembre dernier avec une première sortie en mer Baltique en vue d'une mise en service en 2020. Deux navires similaires sont en construction, "l’Oural" et le "Sibir", dont les chantiers ont débuté en 2017 et 2019. Une commande de deux autres brise-glaces a été formulée en août 2019 pour une livraison programmée en 2024 et 2026. Avec cette dernière commande, Moscou compte donc porter à 6 le nombre de ses brise-glaces géants. A LIRE AUSSI [Vidéo] Premier essai réussi pour Arktika, le brise-glace russe à propulsion nucléaire le plus puissant au monde Acheminer du gaz naturel liquéfié en Asie du Sud-est Le projet "Leader" initié par Moscou ambitionne d'ouvrir toute l'année à la navigation le passage du Nord-Est, ce couloir maritime qui relie l'océan Atlantique à l'océan Pacifique en passant par l'Arctique, pour acheminer 80 000 tonnes de gaz naturel liquéfié GNL. A l'aide de ses brise-glaces à propulsion nucléaire, le Kremlin estime cet objectif atteignable à l'horizon 2023-2025. Le passage du Nord-Est est empruntable uniquement pendant l'été en temps normal, mais l'épaisseur de glace a fortement diminué sous l'effet du réchauffement climatique, constituant une aubaine pour les navires développé par le Kremlin. Présentée par Vladimir Poutine comme une priorité, l’expansion économique dans l’Arctique oppose les intérêts de cinq pays, dont les États-Unis. La Russie souhaite devenir la première puissance de la région, profitant du réchauffement climatique et de la fonte des glaces qui ouvrent de nouvelles routes commerciales dans le Grand Nord. De nouveaux passages maritimes controversés en raison de leur impact sur la faune et la flore sauvage, déjà fortement affectées par les changements climatiques. Crédit Rosatomflot SUR LE MÊME SUJET On a visité la première centrale nucléaire flottante au monde