Jecrois, comme si on recevait en plus tout l'amour qui n'se donnait pas (un, deux, trois, quatre, un, deux, trois, quatre) Allez, c'est comme ça [Refrain : Bigflo & Oli, Olympe Chabert] Tant pis ou tant mieux Nanananana Tant pis ou tant mieux Nanananana [Bigflo & Oli, Olympe Chabert] L'amour ne se divise pas, il se multiplie
L'amour ne se divise pas, il se multiplie" Afin de suivre l'aboutissement de notre quĂŞte agrandir notre famille en route pour le Vietnam et la rencontre avec notre ti-bouchon !
L'amour ne se divise pas, il se multiplie." Cette magnifique phrase sort de la bouche d'un père. Un père adoptif, qui avec sa femme, a accompagné sa fille Marie dans la recherche de ses origines, jusqu'à la rencontre de celle qui lui a donné la vie. Et la mère de rajouter : "Je me souviens quand adolescente, elle a commencé à se poser des questions. Je m'étais dit
Lamour se multiplie, il ne s By ireneamiot. 416 4 0 Manon, jeune fille de 9 ans, est un peu perdue au sein de sa "trop grande" famille recomposée. Un soir, tandi More. Chapitre 1. Chapitre 2. Chapitre 3. Chapitre 4. Chapitre 5. Chapitre 6. Chapitre 7. Chapitre 8. Chapitre 9. Chapitre 10. Chapitre 11. Chapitre 12. Chapitre 13. Chapitre 14. Chapitre 15. Chapitre 16.
26views, 2 likes, 0 loves, 0 comments, 1 shares, Facebook Watch Videos from KiDesign & co: OUVRE VITE ! L’amour d’une maman ne se divise pas il se multiplie ️ • Shop sur ETSY • ( lien
Ilsn’ont pas accepté les défis de la vie et elle ne les défie plus.. Citation de Paulo Coelho / La cinquième montagne. La liberté n’est pas l’absence d’engagement, mais la capacité de choisir. Paulo Coelho / Le Zahir. Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. Paulo Coelho ; Sur le bord de la rivière
Ellevit avec son conjoint Éric depuis 3 ans Mais elle a aussi d'autres partenaires, qui ont eux aussi d'autres partenaires. Pour Isabelle : l'amour, ça se multiplie et ça s'additionne, ça ne se divise ni ne se soustrait pas! Écoutez le balado ci-dessous.
L'amour ne se divise pas, il se multiplie." Cette magnifique phrase sort de la bouche d'un père. Un père adoptif, qui avec sa femme, a accompagné sa fille Marie dans la
P. anal. Se développer. Et cette maladie qu'était l'amour de Swann avait tellement multiplié, il était si étroitement mêlé à toutes les habitudes de Swann, à tous ses actes, à sa pensée, à sa santé, à son sommeil, à sa vie, même à ce qu'il désirait pour après sa mort, il ne faisait tellement plus qu'un avec lui, qu'on n'aurait pas pu l'arracher de lui sans le détruire
Ellem’a expliqué que l’amour d’une mère ne se divise pas, mais qu’il se multiplie pas besoin de portions égales, l’amour se multiplie simplement, si on le laisse faire. L’amour de Dieu ne
Wyj3l. Cet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Québec, qui a fermé ses portes en 2021. Toute future maman d'un deuxième enfant a entendu ce dicton pour le moins rassurant quand, prise de doutes, elle ose demander si le second enfant sera autant aimé que le premier. J'ai toujours cru que c'était une phrase un peu trop bien ficelée, qui tourne un peu les coins ronds. Un peu comme quand on balaie la douleur de l'accouchement du revers de la main, clamant On oublie tout à la minute qu'ils sont dans nos bras».Deux semaines post-partum, je vous le confirme Non, je n'ai pas oublié la douleur de l'accouchement. Et non, je n'aime pas également mes deux filles. Du moins, pas encore. Ça ne m'inquiète pas plus que ça. Pour moi, le contraire aurait été étonnant. Après tout, ma première a été le centre de mon univers pendant plus de trois ans. Sa grossesse a été ponctuée de cours prénataux, de tableaux Pinterest pour des décos de chambre, d'un énorme baby shower, de magasinage intensif, d'applications Iphone détaillant l'évolution du deuxième grossesse elle, je l'ai passée à courir après un terrible-two chantant Let it go à tue-tête. Outre ces considérations matérielles, ma première m'a propulsée vitesse grand V dans un tourbillon d'émotions dont je ne soupçonnais même pas l'existence. De baby blues à rires hystériques, j'ai été prise de court par cet amour aussi puissant qu'inconditionnel surgissant du fin fond de mes entrailles. Ma vie, mes valeurs, mes objectifs, ma vision du monde tout a été ans plus tard, je suis beaucoup plus sereine dans ce nouveau chapitre de la maternité. Plus heureuse, aussi. L'amour est moins foudroyant, mais plus assuré, plus apaisant. Mes inquiétudes sont moins superficielles. Ce que je ressens pour mon nouveau-né aujourd'hui, c'est un solide instinct de protection. C'est une fierté incroyable. C'est une gratitude infinie pour ce trésor que je crois à peine tous les jours, l'amour que je ressens pour elle grandit, s'affirme et s'épanouit. Un peu plus haut, un peu plus fort. Un jour, une courte nuit à la fois. Et je ne m'inquiète pas très bientôt, elle viendra rejoindre sa grande sœur sur la première marche du podium de mon cœur. Quant à la douleur de l'accouchement, elle finira également par fondre dans le brouillard de ma mémoire. Et je finirai pas dire moi aussi, que ce n'était pas si pire que ça... ! Before You GoPopular in the CommunityCet article fait partie des archives en ligne du HuffPost Canada, qui ont fermé en 2021. Si vous avez des questions ou des préoccupations, veuillez consulter notre FAQ ou contacter support
Les bureaux Cogito’Z, où Jeanne Siaud-Facchin accompagne les personnes à haut potentiel, ne sont que le seuil de notre rencontre. Très vite, la psychologue clinicienne et psychothérapeute nous entraîne dans la clairière de son esprit, ce havre de paix baigné de soleil qui illustre le mieux pour elle l’idée de sérénité. Elle s’y laisse inspirer par les énergies du rassemblement et de la confiance, deux nobles qualités qui peuvent illuminer notre route dès lors que l’on prend la peine de les cultiver dans notre relation à nous-même, aux autres et à la vie. RASSEMBLER C’est cette capacité intime d’être honnête et lucide vis-à -vis de soi, dans une forme d’acceptation, et peut-être même de renoncement, par rapport à tout ce qu’on aurait pu, tout ce qu’on aurait dû, tout ce qu’on pense qu’il aurait fallu réaliser. C’est se rassembler soi-même dans un monde où demeure toujours la tentation de l’éparpillement et où nous dispersons beaucoup notre âme. Un peu comme quand on joue à la roulette. Le pire, pour moi, dans ce jeu, c’est de voir certains participants placer leur pion à cheval sur plusieurs numéros, pour être certains de gagner ou de ne pas totalement perdre. C’est typique de personnes qui n’ont pas le courage d’assumer ce qu’elles sont, ce qu’elles font et pourquoi elles le font, comme si elles n’étaient pas alignées, par peur, sur le sens profond de leurs valeurs. Peur de ne pas être à la hauteur, peur des autres, d’accomplir des choses, de s’exposer, de ne pas être aimé, de ses fragilités… Tout cela nous conduit à nous disperser énormément en espérant, à un moment, gagner quelque chose, avoir un retour sur investissement. Miser sur un numéro, dans la vie, c’est consacrer toute son énergie, toutes ses compétences, tout son talent dans une voie en se disant que c’est la bonne, qu’il n’y en pas d’autres. Ca exclue certes des myriades de possibilités et ça peut, à l’extrême, nous rendre rigide, tel un cheval de traie avec des ornières, sur un seul sillon, qui ne veut rien voir ce qu’il se passe autour. Mais ça exige aussi beaucoup de courage. Se rassembler, c’est peut-être finalement se dire – pour terminer sur la métaphore de la roulette – que nous sommes faits de tous ces numéros. C’est s’unir à soi-même et réunir tout ce qui fait que l’on est ce que l’on est, dans ses faces lumineuses et ses côtés plus sombres. S’accepter profondément, même si les autres ne voient pas que nos bons » côtés. Mais ce mot m’évoque aussi une notion d’intelligence car “intelligere” signifie, étymologiquement, faire des liens. Pour moi, la plus belle intelligence de l’homme est justement de construire en permanence des liens avec tout ce qu’il vit, tout ce qu’il est, avec les autres, avec tout ce que lui offre et lui retire l’existence. C’est de l’alchimie de vie, comme quand on fabrique une potion dans une grande marmite on y met de l’acidité, du sucré, de la douceur, de l’amertume. L’intelligence collective nous a offert cette phrase tout seul, on va plus vite, ensemble, on va plus loin ». Et elle peut se décliner de mille et une façons. Quelquefois, on peut être piégé par l’illusion que notre façon de comprendre et de voir est la meilleure. Très vite, on se met à donner des conseils aux autres moi, je pense que… ». D’accord, mais ce n’est qu’un grain de sable dans l’univers, et chacun pense différemment. Je parlais de potions, mais quand on prépare, plus ordinairement, une soupe dans sa cuisine, il faut souvent tourner, sinon ça brûle. C’est un peu ça le mouvement de la vie, il faut tout le temps tourner et rassembler. CONFIANCE Avoir confiance, c’est avoir foi, au sens noble du terme, en quelque chose d’inébranlable. Il y a toujours la trilogie confiance en soi, en l’autre, en la vie. La confiance en soi, ce n’est pas se considérer comme le meilleur, le plus fort, le plus compétent. Non, c’est, une fois encore, pouvoir prendre en compte ce qui, chez soi, fonctionne et ne fonctionne pas, et être à l’aise avec ça. Si l’on peut s’aimer tel que l’on est, on peut aussi s’élancer dans la vie comme dans ces gymkhanas où l’on relève des défis, où l’on résout des énigmes, où l’on dépasse des situations en se disant je vais faire du mieux possible avec ce que je suis parce que, de toute façon, c’est le maximum que je puisse faire ». Avoir confiance en soi, c’est aussi accepter ses limites. Par exemple, moi, je suis petite et, par définition, je ne peux pas attraper certains objets dans une cuisine. Mais je m’en fiche, ça ne m’empêche pas d’avoir confiance en moi. Toi qui est grand, vas-y, moi, petite, je me faufile ». Il est plus facile de développer une confiance en soi solide quand on a une base interne de sécurité. La psychologie du développement nous explique qu’elle vient de la qualité de la relation qu’on a eu avec les figures d’attachement que sont nos parents. Mais cela ne nous empêche pas de l’acquérir à tous les âges de la vie, de la prendre en route. La confiance en la vie, c’est accepter le fait qu’il peut nous arriver des tas de catastrophes, tous les jours. Que ce soit sur un plan personnel, sur celui de la société, ou de l’humanité, des catastrophes en veux-tu en voilà . Notre cerveau est d’ailleurs formaté de sorte à voir d’abord ce qui dysfonctionne. Ça nous permet d’avoir conscience des dangers, de ne pas faire tout et n’importe quoi, de ne pas se dire tiens, je vais essayer de marcher sur la rambarde parce que c’est rigolo et que je verrai bien mieux la Tour Eiffel qui est juste là ». Après, c’est la capacité de se décaler sur le bas côté et de dire wow ok, il y a des nuages, mais regarde cette lumière sur l’immeuble en face, comme elle est belle ! » La capacité de se saisir, de capturer, ce qui va pouvoir justement éclairer notre chemin au milieu des catastrophes. Je fais beaucoup ça avec mes patients, leur dire si on revient sur votre journée d’hier, à quel moment avez-vous eu l’impression que la vie vous faisait un clin d’œil et que c’est passé si vite que vous ne vous en êtes pas rendu compte ? » Je n’ai jamais rencontré un patient, depuis 30 ans que j’exerce, qui m’ait répondu non, rien ». Il est très intéressant d’accompagner quelqu’un pour tordre un peu son regard, pour lui dire regarde, là , dans le coin, il n’y a pas un truc, quand même, qu’on pourrait attraper ? » Ce n’est pas une question de dire wow, tout est merveilleux », parce que ce n’est pas vrai. C’est juste se rendre compte que dans une journée, dans une heure, il y a des petites choses, aussi microscopiques soient-elles, qu’on peut aller attraper et qui sont beaucoup moins sombres que tout le reste. La confiance en l’autre, c’est mettre à distance la peur d’être trahi, d’être déçu ou de ne pas être aimé tel que l’on est. Je dis souvent à mes patients Ok, vous avez été trahi, vous êtes déçu, mais dans la grande balance de la vie, est-ce que vous ne faites plus jamais confiance, ou est-ce que de laisser cette énergie de la confiance, est-ce que ce n’est pas beaucoup plus avantageux pour vous de continuer ? Est ce que, finalement, la balance, elle ne finira pas par pencher, même si vous avez été blessé ? Malgré les coups de grisou que vous avez vécu, parce que vous ne vous êtes pas senti aimé, reconnu ? Eh bien remettez encore toute votre confiance, c’est comme l’amour, ça ne se divise pas, ça se multiplie ! » Plus on le fait, plus on élargit le champ des possibilités de se sentir à sa place dans sa vie. Il ne s’agit pas que la vie nous rende, ce n’est pas ce calcul-là , cette mécanique-là . C’est que, plus on fait confiance, plus on ressent de la confiance, plus on se sent aligné dans la vie, plus on se relie à notre propre énergie de vie. Psychologue clinicienne, psychothérapeute, Jeanne Siaud-Facchin a fondé Cogito’Z, des Centres de Psychologie Intégrative en France et à l’étranger. Auteure de nombreux ouvrages à succès, Jeanne Siaud-Facchin a publié dernièrement S’il te plait aide-moi à vivre. Pour une nouvelle psychologie aux Éditions Odile Jacob. Elle préside aussi l’association Zebra, centre ressource pour les surdoués et fait partie du Comité Scientifique de l’association SEVE, de Frédéric Lenoir. Elle a aussi crée Mindful UP des programmes de méditations pour enfants et adolescents. Portrait © stella&claudel Propos recueillis par Nathalie Cohen et Aubry François